Les ornements Khara Tuki ne sont pas vraiment comme nos bijoux familiers qui viennent accessoiriser ou égayer nos robes, nos T. shirts ou nos cols roulés…
Non, les parures Khara Tuki deviennent plutôt les attributs majeurs de nos tenues, comme le seraient une étole de fourrure, un large ceinturon clouté ou une paire de bottes mexicaines … elles font partie intégrante de la tenue qui se révèle par des associations, des mélanges inspirés.
De ce fait, elles sont à première vue, imposantes où intimidantes, mais dès qu’on les a sur soi, on les apprivoise et on se rend compte qu’elles sont faciles à porter.
Comment cette alchimie opère-t-telle ?
Les créations de Fanny Roux de Badilhac sont influencées par les parures ethniques, sacrées ou antiques, et à ce titre, s’imaginent sur le corps nu comme seul ornement.
Elles ont pour nom Paco Bola-Tie, Gong noir, Astarté, Ophir, Marbuk, Elissar, LimaKlimt ou Hator…
Elles semblent comme dérobées pour un jour ou une nuit dans un musée birman, ou bengali, à la cour d’Autriche ou au fond d’un vaisseau phénicien…
Elles viennent des mémoires d’Angkor, des mythologies grecques ou égyptiennes … et pourtant elles sont intemporelles.
Elles arborent des agates rubanées ou des chrysocolles marmoréennes, dévalent des cascades d’archal éclaboussées de pyrites de fer, elles fixent l’œil de tigre et caressent la cornaline, enlacent les turquoises et le quartz fumé, roulent les perles de Bohème et les cylindres d’émeraude …
Nos chemises partent alors pour Samarcande, nos caracos accostent Zanzibar, nos petites vestes noires voyagent enfin sans bagage.
Khara Tuki donne la liberté de porter des parures majeures avec simplicité, culture et inspiration.
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